Les Français, champions du matelas de sécurité
Le sondage OpinionWay – Les Échos – Le Conservateur (juillet 2025) confirme une constante :
les Français épargnent beaucoup (près de 3 foyers sur 4 mettent de côté chaque mois), mais investissent peu.
Leur mot d’ordre ? Sécurité avant tout.
93 % détiennent au moins un produit d’épargne.
Le Livret A reste le placement préféré, jugé “le plus sûr” par deux Français sur trois.
L’assurance-vie arrive en deuxième position (37 %), plébiscitée pour sa fiscalité et sa souplesse.
Ce réflexe sécuritaire s’explique aisément :
Inflation persistante, tensions politiques, crises géopolitiques… autant de raisons de se réfugier dans des placements simples et liquides.
Mais cette prudence, en apparence vertueuse, cache un danger silencieux : le rendement réel négatif.
Les fonds en euros : socle stable… ou illusion de sécurité ?
Les fonds en euros, pierre angulaire des contrats d’assurance-vie, sont censés rassurer.
Ils garantissent le capital et distribuent un rendement annuel fixe.
Mais depuis quelques années, ce rendement s’effrite inexorablement.
📉 En 2024, le rendement moyen s’est établi autour de 2,6 % brut, soit environ 1,8 % net après prélèvements sociaux.
Face à une inflation moyenne de 2,8 à 3 %, cela signifie une perte de pouvoir d’achat patrimoniale.

Et le paradoxe va plus loin :
Les Français considèrent le fonds en euros comme un placement “sécurisé”, mais seuls 32 % des sondés le jugent réellement sûr – moins que le Livret A (67 %).
Le mythe du “placement sans risque” s’effrite.
En clair : le fonds euro protège le capital nominal, mais pas sa valeur réelle.
Pour une épargne de long terme – et notamment pour la retraite – il devient un amortisseur… pas un moteur.
La fiscalité, un levier sous-utilisé
Autre enseignement majeur du sondage : la fiscalité reste un déclencheur d’investissement puissant.
Près de 4 Français sur 10 déclarent qu’un avantage fiscal les inciterait à investir.
Mais les incitations fiscales “vertes” (climat, biodiversité) séduisent moins que prévu (22 % et 19 %).
La priorité reste économique : préserver la valeur de l’épargne et le rendement net après impôt.
Cela révèle une tendance profonde : les ménages recherchent des solutions à la fois tangibles, stables et fiscalement optimisées.
Un profil typique de “rentier prudent”, plus que de spéculateur.
Les suites hôtelières : la rencontre du rendement et de la sécurité
C’est précisément dans ce vide entre Livret A trop bas et marchés trop volatils que s’inscrivent les Suites Hôtelières Welcome.
Ces placements reposent sur une idée simple :
investir dans des actifs réels parisiens, rares et gérés professionnellement, pour générer des revenus récurrents.
Critère | Ce que recherchent les Français | Ce que proposent les Suites Hôtelières Welcome |
|---|---|---|
Sécurité | Garantie du capital, actif tangible | Actifs immobiliers parisiens, sans effet de levier bancaire |
Simplicité | Gestion clé en main | Exploitation hôtelière déléguée, revenus automatiques |
Rendement | 3 à 5 % attendus (fonds euros) | 7 à 8 % nets distribués, TRI cible 9–10 %* |
Fiscalité | PFU 30 % (revenus mobiliers) | Revenus mobiliers également, hors IFI |
*Rendement non garanti et soumis à fiscalité.
Les Suites Hôtelières cochent ainsi toutes les cases psychologiques de l’épargnant français moderne :
sécurité tangible,
performance supérieure à l’épargne réglementée,
gestion simplifiée,
visibilité fiscale.
Conclusion : épargner n’est pas investir
Le Livret A rassure.
L’assurance-vie rassure.
Mais aucun de ces deux supports ne prépare vraiment l’avenir.
En 2025, le vrai risque n’est plus la volatilité.
C’est l’immobilisme.
Les investisseurs qui comprendront cela les premiers feront la différence :
non pas en prenant des risques inconsidérés, mais en choisissant des actifs réels, rentables et maîtrisés, capables de résister aux cycles économiques.
“La peur de perdre fait souvent perdre plus que le risque lui-même.”











